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Articles de eumei

Tournée 2020 en France de Cloud Gate Dance Theatre of Taiwan

Par Le 21/01/2020

Le Centre Culturel de Taïwan à Paris a le plaisir de vous présenter la tournée de Cloud Gate Dance Theatre of Taiwan en France, du 10 janvier au 20 février 2020. Pendant prèsque 2 mois, avec 21 représentations dans 8 villes française, la compagnie nous présentera sa création Thirteen Tongues, une féerie chorégraphique portée par la vitalité vigoureuse de danseurs taïwannais.

10 janvier : Le Phénix scène nationale Valenciennes
14 janvier : La Scène Nationale d'Orléans
17–18 janvier : Le Quartz - Scène nationale de Brest
22–24 janvier : Maison des arts de Créteil
28–31 janvier : Maison de la Danse de Lyon
04–05 février : Malraux Scène nationale Chambéry Savoie
07–08 février : Bonlieu scène nationale Annecy
12–15 février : Chaillot – Théâtre National de La Danse, Paris
19–20 février : La Comédie de Clermont-Ferrand Scéne Nationale
 

 

Pour plus d'informations, voici les liens :

Centre culturel de Taiwan à Paris
Site:https://fr.taiwan.culture.tw/
Facebook:https://www.facebook.com/page.cctp/
Youtube:https://www.youtube.com/user/ccacctp

Le cinéma Taïwanais - Musée Guimet

Par Le 13/09/2016

Le cinéma taiwanais au programme du Musée Guimet à Paris

  • Jeudi 18 août 2016


Les plus lus

Le cinéma taiwanais au programme du Musée Guimet à ParisUn été à Quchi de Chang Tso-chi.
Aimable crédit de Chang Tso Chi Film Studio

Du 2 novembre au 14 décembre, lecycle cinéma du Musée national des arts asiatiques Guimet, à Paris, en France, sera entièrement consacré à Taiwan. A cette occasion, le filmPetite histoire à la Porte de l’Ouest, du Français Jean-Robert Thomann, y sera projeté en avant-première le 2 novembre en présence du réalisateur.

Pour cette programmation offrant des regards croisés sur Taiwan, l’auditorium du Musée Guimet proposera dans un premier temps plusieurs documentaires signés par Jean-Robert Thomann. Parmi ceux-ci, Lee Zhong-Chih, une vie de calligraphe, un portrait de ce calligraphe âgé de 93 ans vivant à Kaohsiung, dans le sud de Taiwan, et spécialiste de l’écriture des scribes et du sigillaire de la dynastie Qin, qu’il a enseignés à de nombreux étudiants.

D’autres documentaires de réalisateurs taiwanais inédits en France seront ensuite au programme, dont Désobéissance civile de Chen Yu-ching [陳育青], qui traite des mouvements sociaux ayant marqué Taiwan ces dernières années, et The lost sea de Hung Chun-hsiu [洪淳修], qui explore l’impact de la politique sur l’environnement à partir du cas de Kinmen, archipel sous contrôle taiwanais au large des côtes chinoises.

Les 16 et 17 novembre, des Journées de la littérature taiwanaise seront ponctuées par une conférence de Sandrine Marchand, maître de conférences à l’Université d’Artois, et par la projection de portraits d’écrivains tirés de la série documentaire « The Inspired Island » et consacrés aux auteurs taiwanais Wang Wenxing [王文興], Lin Hai-yin [林海音] et Yang Mu [楊牧].

Enfin, les spectateurs parisiens pourront redécouvrir plusieurs longs métrages de fiction comme Un été à Quchi de Chang Tso-chi [張作驥], Je ne peux pas vivre sans toi de Leon Dai [戴立忍] ou encore The Assassin de Hou Hsiao-hsien [侯孝賢].

 

Source : http://taiwaninfo.nat.gov.tw/ct.asp?xItem=247122&ctNode=2367

 

 

Cinéma : Rétrospective Hou Hsiao-Hsien

Par Le 08/03/2016

Dialogue avec Olivier Assayas

The Assassin, Prix de la mise en scène lors du festival de Cannes 2015, marque le grand retour de Hou Hsiao-hsien après huit ans d'absence. Figure emblématique de la Nouvelle Vague taïwanaise dès les années 1980, il est devenu un modèle pour les jeunes cinéastes chinois marqués par ses œuvres majeures : Les Garçons de Fengkuei, Millenium Mambo, Les Fleurs de Shanghai, Un Temps pour vivre, un temps pour mourir.

Lien : http://www.cinematheque.fr/cycle/hou-hsiao-hsien-316.html

Source : La cinémathèque française

 

 

 

Poésie chinoise

Par Le 08/03/2016

Résonances d'une poésie insulaire: voir et entendre Taiwan, Avec les poètes Chen Li et Ye Mimi

Deux poètes taïwanais, Chen Li 陳黎et Ye Mimi葉覓覓, sont les invités du 18e Printemps des Poètes qui se tiendra du 5 au 20 mars. C’est la sinologue française Marie Laureillard,  traductrice de ces deux poètes, qui est la principale instigatrice de cette invitation. Ses efforts vont également permettre que paraisse en fin d’année aux éditions Circé un recueil de poèmes de Chen Li traduits en français. Du 12 au 19 mars, Chen Li et Ye Mimi se rendront successivement à Montpellier, Lyon et Paris  pour participer à des conférences-lectures sur le thème « Résonances d’une poésie insulaire : voir et entendre Taïwan », conférences qui seront accompagnées de projections de vidéos et de diffusion d’enregistrements musicaux. 

Chen Li, né à Hualien, Taiwan, en 1954, est diplômé du département d’anglais de l’Université Normale Nationale de Taiwan. Considéré comme « l’un des poètes de langue chinoise les plus novateurs et les plus stimulants d’aujourd’hui », il est l’auteur de 14 recueils de poésie, mais aussi un écrivain à la prose prolifique et un traducteur. Avec Chang Fen-ling張芬齡, son épouse, il a traduit en chinois plus de vingt volumes de poésie, issus de l’œuvre de Sylvia Plath, Seamus Heaney, Pablo Neruda, Octavio Paz, Wislawa Szymborska, Tomas Tranströmer et Yosano Akiko. Titulaire de nombreux prix (parmi lesquels le Prix National de Littérature et d’Arts et le Prix de littérature de Taiwan) dans son pays, il organise le Festival de Poésie du Pacifique annuel dans sa ville natale. Il a été invité en 1999 au Festival de Poésie International de Rotterdam, puis en 2004 au Salon du livre de Paris. En 2005, il a figuré sur la liste des « Dix Premiers Poètes contemporains de Taiwan ». En 2012, il a été sélectionné comme poète représentant Taiwan au Festival de Poésie Olympique (Poetry Parnassus) de Londres. En 2014, il a été invité à la Foire du Livre de Shanghai ainsi qu’au Programme d’écriture international de l’université d’Iowa. En 2015, il a participé au Festival mondial de poésie d’Athènes, au Festival des écrivains de Singapour et aux Nuits de poésie internationale de Hong Kong. Ses poèmes ont été traduits entre autres en anglais, français, hollandais et japonais.

Ye Mimi est une poétesse et réalisatrice taiwanaise née en 1980. Diplômée d’un master d’écriture créative et de littérature anglaise de l’université Dong Hwa ainsi que d’un master de création cinématographique de l’Institut d’Art de Chicago, elle réalise des films à partir de sa poésie et intègre le cinéma à son écriture. Elle est l’auteur de deux volumes de poésie, Noir d’encre《漆黑》, et Plus c’est voiture, plus c’est loin《越車越遠》, En avant en arrière《順順逆逆》, et a présenté à l’étranger plusieurs de ses « films poétiques », qui lui ont valu le prix du meilleur film poétique à Rome. Par le collage entre mots et images, elle invente un nouveau paysage en essayant d’abolir les frontières entre poésie et image. Sa poésie a paru dans Hayden’s Ferry Review, Asymptote, Jacket 2, entre autres revues littéraires internationales. Récemment, un ouvrage bilingue comportant des traductions en anglais de Steve Bradbury a été publié par Anomalous Press sous le titre His Days Go by the Way Her Years《他度日她的如年》.

Lundi 14 mars 2016 à 15 h 

Université Paul Valéry-Montpellier 3, UFR 2, Bâtiment C, Salle C020

Route de Mende, 34199 Montpellier (arrêt de tram St Eloi)

Lundi 15 mars 2016 à 16h30

Université Jean Moulin-Lyon 3, Auditorium de la MILC, Salle 410

35, rue Raulin, 69007 Lyon

Jeudi 17 mars 2016 à 18 h 

Université Paris Diderot-Paris 7, UFR Langues et Civilisations de l’Asie Orientale

Bâtiment la Halle aux Farines - Amphithéâtre 4 C, 1er niveau

Esplanade Pierre Vidal-Naquet 75013 Paris            

Vendredi 18 mars 2016 à 10h30

'' Rencontres  taiwanaises : poésie, musique et arts visuels''

Institut national d'histoire de l'art (INHA)  

2 Rue Vivienne, 75002 Paris

Entrée libre

Yuan Goangming et Lai Chih-Sheng Biennale d'art contemporain de Lyon 2015- La vie Moderne

Par Le 09/09/2015

Du 10 septembre 2015 au 3 janvier 2016
Divers lieux à Lyon
Pour plus d’informations : http://www.biennaledelyon.com/
Deux artistes taïwanais ont été sélectionnés pour participer à la Biennale d’art contemporain de Lyon 2015 : Yuan Goangming et Lai Chih-Sheng.

Yuan Goangming est un pionnier de la création multimédia taïwanaise. Ses œuvres se situent à la lisière du simple enregistrement vidéo et du film. La plupart se présentent sous la forme d’installations mixtes d’images fixes et de vidéos, très révélatrices des conceptions artistiques de leur auteur. Les images numériques fixes aussi bien que celles qui se succèdent dans les vidéos témoignent d’une esthétique et d’un savoir-faire propres à l’art photographique traditionnel ou du moins qui en dérivent. Les œuvres de Yuan Goangming ne sont pas seulement une recherche sur les possibilités d’expression via la technique et les multimédias, elles constituent aussi un moyen d’observer les différents aspects du réel. Dans ses œuvres les plus récentes, l’artiste s’inspire évidemment de l’incontournable contexte politique, mais il manifeste également un intérêt soutenu pour tous les phénomènes profonds qui, dans la vie quotidienne, sont enfouis sous les conceptions du réel prévalentes, écrasés par l’inertie ambiante, refoulés, négligés, voire totalement ignorés et qui traduisent pourtant une inquiétude existentielle, celle de la difficulté à se stabiliser. Tout cela s’exprime à travers des formes artistiques qui sollicitent en permanence la plus grande acuité visuelle et auditive du public.

Les œuvres de Lai Chih-Sheng relèvent essentiellement de l’art conceptuel. Elles sont des réflexions sur la perception du temps, de l’espace et du corps. Réalité de la vie et esthétique s’y mêlent étroitement en une expérience sensorielle vécue directement par le visiteur. En touchant à la fois à l’art et à la vie, ces créations procurent à celui qui les parcourt des sensations à la fois familières et nouvelles qui lui font voir sous un jour nouveau non seulement l’art, mais aussi le monde dans lequel lui-même évolue. Avec Border, titre que l’on pourrait traduire à la fois par « frontière » et par « au bord de », l’artiste présente une installation structurante de la spatialité et de la temporalité, s’élaborant dans la verticalité par la participation du visiteur qui, progressant sur une passerelle sans parapet accrochée aux murs, (a)perçoit en bas, sous des angles variés, pêle-mêle, les restes inutiles des matériaux ayant servi à la construction de l’œuvre. Contraint de faire très attention à ses pas, le visiteur, par son corps déambulant, fait l’expérience directe de la « frontiéralité ».
Bien qu’utilisant des médias différents, bien que s’interrogeant dans des formes et des contenus différents, les deux artistes présentent tous deux un regard sur la réalité contemporaine de la vie, regard qui permet d’éclairer le visiteur sur les rapports actuels de l’homme au monde, sur « la vie moderne », thème de la Biennale 2015.


Yuan_Goangming


Lai_Chih_Sheng

le savoir-faire du bambou - Exposition au Salon Révélations

Par Le 09/09/2015

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Après un franc succès en 2013, la biennale internationale des métiers d’art et de la création, Salon Révélations, reviendra sous la verrière du Grand Palais et s’annonce comme l’événement phare de la rentrée culturelle de cette année. Parmi près de 300 exposants participants, Taiwan présentera un ensemble d’objets d’exception, fruits du savoir-faire ancestral taïwanais du travail du bambou associé au talent de designers de réputation internationale, taïwanais, français et d’ailleurs.
 
Pour la deuxième édition de cet événement emblématique des métiers d’art, Taiwan sera également présent dans la section « Le Banquet »,   située au cœur du salon et dédiée aux œuvres d’exceptions venant de différents secteurs géographiques du monde. Luminaires, mobilier ainsi qu’accessoires de mode et de décoration, retiendront l’attention du public sensible à la qualité de la finition et la beauté du design des pièces prestigieuses. Cet ensemble d’exposition d’objets originaux intitulée « Taïwan : le savoir-faire du bambou », mettra en valeur tout le raffinement du travail sur bambou tel qu’il est pratiqué à Taïwan.
Avec le soutien du Centre culturel de Taiwan à Paris, ce projet s’inscrit également dans le cadre du programme du collectif Hand in Hand pour l’année en cours.
Depuis 2011, Hand in Hand favorise les rencontres croisées entre artisans et designers de France et de Taïwan. Son objectif est de dynamiser le développement local par la rencontre entre l’artisanat, le design et l’innovation.

Du 10 au 13 septembre                  
Grand Palais:3 Avenue du Général Eisenhower, 75008 Paris
http://www.revelations-grandpalais.com

Innovation Architecture Design

Par Le 30/05/2015

Projection et discutions:
Les échanges France-Taïwan : créer, innover, expérimenter, construire ensemble
Taïwan et la France entretiennent des relations culturelles profondes et sincères depuis longtemps. Néanmoins, ce n’est que très récemment que le design et l’architecture ont multiplié les échanges de manière profondément significative.
En 2014, Taïwan était pour le première fois présent aux D'days. En 2015 il confirme sa présence comme le partenaire engagé d’Asie du nord-est.
 
Dans le thème des D’days 2015 «Expérience », l‘innovation taïwanaise trouve sa place naturelle et est représentée à l’occasion de deux évènements dédiés à la richesse des échanges entre les deux pays:
- La projection du film ”Maker“, en présence de son réalisateur Yu-Hsiu Yang, également fondateur du plus grand "Maker space" de Taïwan FUTUREWARD.
- Une série de tables rondes participatives “Les Echanges France-Taïwan" où designers, architectes, artistes et institutions viendront témoigner de leurs expériences uniques avec l’‘île de Formose.
 
A l’occasion de cette première projection en France, le public découvrira une invitation à l’expérimentation en remontant aux sources même du mouvement “Maker”. 
 
 
FUTUREWARD répond à l’invitation des «Arts Codés», nouveau lieu de convergence entre savoir-faire numériques et métiers d’arts, à Pantin et qui regroupe le CERFAV, le studio In-Flexions, Magnalucis, la Nouvelle Fabrique et Polyrepro. Un dialogue franco-taïwanais autour des notions de création, d’expérimentation, de construction auquel le public parisien est convié par les deux espaces.
La table ronde qui suivra la projection emmènera ceux qui sont intéressés par l’innovation et la création transculturelle au coeur des échanges franco-asiatiques avec des intervenants de qualité : 
- Les designers François Brument et Sonia Laugier (studio In-Flexions) et la commissaire d’exposition Wendy Gers évoqueront la biennale de céramique “Terra Nova” au New Taipei City Yingge ceramics museum, où les designers ont réalisé une résidence afin d’investir les hybridations possibles entre les techniques traditionnelles de la céramique et le numérique. 
- Les architectes Eric Cassar (Arkhenspaces) pour l’unique festival international des containers de Kaohsiung et Pascal Rollet (studio Lipsky + Rollet architectes) pour la plus grande compétition universitaire dans les domaines architecture & design dédiée aux énergies solaires, le «Solar Decathlon».
-L‘acousticien Albert Xu (Xu-Acoustique) et son rôle dans la conception de l’ambitieux centre d’arts vivants, le Wei Wu Ying.
 
Renseignements: 
Les Echanges France-Taïwan sont un évènement ‘Onling Asia’ 
curateurs: Anne-Laure Bouhadef en collaboration avec « Les Arts Codés ». 
 
Le dimanche 7 juin 2015  de 14h00 à 18h00
Lieu : Les “Arts Codés”  
19 rue Charles Auray 93500 Pantin
Métro : Eglise de Pantin

“A New Layer” à Paris Artisanat

Par Le 30/05/2015

“A New Layer” à Paris
Vernissage, le 1 juin 2015, de 18h à 20h, en présence des designers suédois.
 
Nocturne, le 3 juin 2015 de 19h à 21h , avec en agrément, du thé à bulles taïwanais.
 
01/ -14 Juin 2015 (10h30-19h30) 
          www.ddays.net/
Lieu-Espace Modem Quincampoix
            74 rue Quincampoix 75003 Paris
 
L’exposition ”A New Layer” s’inscrit dans un vaste programme d’échanges conçu par l’Institut national de recherche et de développement de l’artisanat taïwanais (NTCRI) situé à Caotun dans le district de Nantou. 
 
En 2012, le NTCRI a invité à Taïwan les designers suédois Gabriella Gustafson, Matti Klenell, Stina Löfgren, Carina Seth Andersson et Mattias Ståhlbom afin qu’ils y explorent toutes les possibilités offertes par l’art de la laque, dont la technique, spécifique de l’Asie orientale, est pratiquée depuis plus de 7000 ans. En collaboration avec des artisans de l’île, ces designers ont pu donner libre champ à leur créativité en réalisant des œuvres aux formes inédites, fruits remarquables de la rencontre entre la Scandinavie et l’Extrême-Orient. Cette démarche expérimentale et exploratoire menée in situ conjointement avec des artisans taïwanais de grand talent, loin de se solder par quelques échanges artistiques convenus, a abouti à la production par d’éminents designers suédois d’une collection enjouée et fort peu conventionnelle d’objets très divers. Les déplacements à Taïwan et la fabrication des objets ont été généreusement financés par le NTCRI. 
 
Le titre de l’exposition « A New Layer » fait bien sûr référence aux multiples couches de laque qu’il faut appliquer pour obtenir la brillance désirée d’une surface. Il évoque aussi un nouvel essor pour cette technique ancestrale. Une grande variété de matériaux – céramique, bois, métal, bambou tressé, tissu, perles et pierre – a été utilisée pour la confection de ces objets sur lesquels de la laque a été appliquée de diverses façons. 
 
Les quelque 35 œuvres présentées sont toutes des prototypes ou des pièces uniques, allant du raffinement extrême à la simplicité d’objets usuels. Toutes ont été dessinées et réalisées spécifiquement dans le cadre du programme du NTCRI. 
 
L’exposition poursuit aujourd’hui sa tournée européenne après avoir été présentée au Musée des Antiquités extrême-orientales de Stockholm Östasiatiska, au Form Design Center de Malmö, au D.Days de Paris et au Röhsska Museum de Göteborg. 

Concert de Erhu

Par Le 23/03/2014

Concert « Mille ans de erhu »

L’erhu (vièle à deux cordes) est sans doute l’instrument chinois le plus populaire à travers le monde. A Taiwan, l’art de erhu a embrassé la richesse culturelle et la créativité locale pour devenir l’instrument ambassadeur d'une musique d’Extrême-Orient aux racines millénaires.

Tanghsuan « TS羅堂軒» Lo est un virtuose d’erhu, de la musique savante comme de la musique populaire. Il est de ces artistes qui naviguent à travers les traditions et les genres. Il est de ceux qui sont aussi à l’aise sur le classique « course de chevaux » du répertoire de erhu que sur un air inspiré par la musique manouche.
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L’erhu est un instrument dont la justesse est très difficile à maîtriser, et c’est sans doute pour cette raison qu'il a rarement été l’instrument leader dans un spectacle. Utilisé longtemps comme instrument d’accompagnement, ce n'est qu'au fil des siècles qu’un répertoire solo lui a peu à peu été dédié.
Ce spectacle évoquera la transformation de ce répertoire à travers les âges, afin de faire découvrir comment l’erhu s’approprie tous les répertoires musicaux, classiques et populaires, jusqu’aux rencontres récentes avec le jazz ou la bossa nova.

• Musiciens : LO Tang-Hsuan (erhu), WU Chih-Feng (sheng), LU Nien-Tzu (yangqin) et leurs invités (hautbois, cor anglais, violoncelle, accordéon, piano)

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Information pratique :
Date et lieu
-Vendredi 28 mars 2014 à 20h30 
Musée Guimet Auditorium 
6 Place d’Iéna, 75116 Paris, FRANCE
Réservation : +33 (0)1 56 52 53 0
http://www.guimet.fr/fr/auditorium/concerts/mille-ans-de-erhu

l’Orchestre Philharmonique de Taïwan

Par Le 23/10/2013

Après 16 ans d’absence, l’Orchestre Philharmonique de Taïwan se produira le 9 novembre 2013 à 20h, Salle Gaveau à Paris, dans un concert qui donnera le coup d’envoi de sa tournée européenne. Au programme, Berlioz, Sibelius et Dvorak et une œuvre du compositeur contemporain taïwanais Nan-Chang Chien.

Le concert du 9 novembre à Paris est le coup d’envoi d’une tournée européenne de l’Orchestre Philharmonique de Taïwan, sous la direction de son charismatique directeur musical, le maestro Shao-Chia Lü. L’orchestre jouera avec la célèbre violoniste Viviane Hagner et la remarquable soprano taïwanaise Meng-Chun Lin. Berlioz, Sibelius et Dvorak seront à l’honneur, mais également Nan-Chang Chien, compositeur taïwanais contemporain, dont les Five Chinese Songs for Soprano and Orchestra (Cinq Chants Chinois pour Soprano et Orchestre)seront donnés en première française.

Programme 

Hector Berlioz, Le Carnaval Romain
Jean Sibelius, Concerto pour violon en ré mineur, op.47.
Nan-Chang Chien, Cinq Chants Chinois pour Soprano et Orchestre
Antonin Dvořák, Symphonie N° 8, op.88 en sol majeur

Orchestre Philharmonique de Taïwan

Direction, Shao-Chia Lü
Violon, Viviane Hagner
Violoncelle, Wen-Sinn Yang
Soprano, Meng-Chun Lin

Fondé en 1986, l’Orchestre Philharmonique de Taïwan se positionne comme l’un des meilleurs orchestres en Asie. En plus des concerts que dirige Shao-Chia Lü, l’orchestre joue régulièrement sous la baguette de chefs de renommée internationale, comme Lorin Maazel, Krzystof Penderecki, Rudolf Barshai, Leonard Slatkin, Christopher Hogwood, Oleg Caetani et Guennadi Rojdestvenski. Il invite également des solistes de tout premier plan comme Vadim Repin, Hilary Hahn,  Gautier Capuçon, Midori, Stephen Kovacevich, Katia et Marielle Labèque, Sabine Meyer et Kun-Woo Paik. Depuis 2005, il est affilié au Centre Culturel National Tchang Kaï-chekà Taipei. En plus de ses productions en version de concert d’Elektra et du Ring de Wagner, l’Orchestre Philharmonique de Taïwan collabore avec des théâtres lyriques de renommée internationale, notamment pour Der Rosenkavalier(Deutsche Oper am Rhein, 2007), Carmen (Royal Opera House Covent Garden, Opéra National de Norvège et Opera Australia, 2009) et Madame Butterfly (Opera Australia, 2012), et il a monté cette année sa propre production scénique de Die Walküre.

Informations pratiques

Date : Samedi 9 novembre 2013, 20h

Lieu : Salle Gaveau

45-47, rue de la Boétie 75008 PARIS

Tarifs : 30€, 25€, 20€ et 15€

Renseignement, réservation : 01 49 53 05 07

Site internet : www.sallegaveau.com

Site internet de l’Orchestre : http://nso.ntch.edu.tw/index.php

Source : centre culturel de Taïwan